QUI ? Erri de Luca, né en 1950 à Naples. Romancier, poète, traducteur, c'est un ancien ouvrier, passionné par l'étude de la Bible. La plupart de ses romans sont d'essence autobiographique.
QUAND ? Naples, dans l'immédiate après-guerre.
QUOI ? Un jeune orphelin, qui deviendra plus tard le narrateur de ce livre, vit sous la protection du concierge, don Gaetano. Ce dernier est un homme généreux et très attaché au bien-être du petit garçon, puis de l'adolescent. Il passe du temps avec lui, pour parler des années de guerre et de la libération de la ville par les Napolitains ou pour lui apprendre à jouer aux cartes. Mais don Gaetano possède un autre don : il lit dans les pensées des gens, et il sait par conséquent que son jeune protégé reste hanté par l'image d'une jeune fille entraperçue un jour derrière une vitre, par hasard, lors d'une partie de football dans la cour de l'immeuble. Quand la jeune fille revient des années plus tard, le narrateur aura plus que jamais besoin de l'aide de don Gaetano...
ALORS ? Le jour avant le bonheur, un titre simple, d'une beauté discrète et émouvante, à l'image de don Gaetano et son protégé (Erri de Luca lui même ?), poignants protagonistes de ce véritable conte initiatique aux accents napolitains. On y lit de grandes et belles choses sur la vie mais aussi des petits riens, L'amour, le bonheur, l'innocence que l'on quitte ou la mort sont là aussi, l'auteur les convoque avec la même fibre poétique, la même sagesse. Et puis quand, au bout de 137 pages, Don Gaetano nous quitte, on se dit qu'il n'en fallait pas plus, que tout avait été dit et bien dit, la leçon (de vie, d'amour) était belle et elle resterait longtemps, tout comme le bonheur ressenti à la lecture de ce livre décidément fort précieux...
ALORS ? Le jour avant le bonheur, un titre simple, d'une beauté discrète et émouvante, à l'image de don Gaetano et son protégé (Erri de Luca lui même ?), poignants protagonistes de ce véritable conte initiatique aux accents napolitains. On y lit de grandes et belles choses sur la vie mais aussi des petits riens, L'amour, le bonheur, l'innocence que l'on quitte ou la mort sont là aussi, l'auteur les convoque avec la même fibre poétique, la même sagesse. Et puis quand, au bout de 137 pages, Don Gaetano nous quitte, on se dit qu'il n'en fallait pas plus, que tout avait été dit et bien dit, la leçon (de vie, d'amour) était belle et elle resterait longtemps, tout comme le bonheur ressenti à la lecture de ce livre décidément fort précieux...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire